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Un appareil idéal pour la photographie de plateau.

Tout n’est que changement pour le photographe de plateau de tournage Chris Raphael. Un jour, il peut être amené à photographier une poursuite de voitures dans le désert africain, puis le jour suivant à capturer un échange de coups de feu dans le métro parisien. Ce qui ne change pas, c’est l’appareil photo qu’il a choisi. En effet, dans le cadre de son travail, Chris utilise trois Sony α7R III afin d’être paré à toute éventualité. Voici les raisons de son choix.

Adaptabilité à toute épreuve

Les scènes des productions télévisuelles et cinématographiques sont rapides. Le photographe doit donc être prêt à tout moment. Les réglages enregistrés offerts par l’α7R III sont d’une grande aide et sont accessibles aux positions 1, 2 et 3 de la molette de sélection des modes. Chris les utilise pour s’adapter rapidement aux changements de sujets : « Grâce à l’enregistrement des réglages dans l’appareil, je peux rapidement passer d’un mode qui convient à un environnement très lumineux à un mode adapté à l’ambiance sombre d’un petit studio éclairé par des lumières au tungstène, et même à un mode approprié pour réaliser un effet de filé. »

Capture silencieuse sur le plateau

Dans le cadre d’un tournage, les photographes de plateau doivent être invisibles et discrets. « Rien de ce que vous faites ne doit venir distraire les acteurs ou les autres artistes », explique Chris. « Lorsque l’α7R III a été lancé sur le marché, l’une de ses améliorations déterminantes était le mode Prise de vue silencieuse, et il présentait également un écran inclinable. Grâce à ces fonctions, je peux me placer juste derrière la caméra principale et composer mes photographies sans avoir à regarder le barillet, et être ainsi hors du champ de vision de l’acteur, sans faire le moindre bruit. »

Avance rapide

« La plupart des plateaux de tournage de studio sont très sombres, ce qui correspond à une préférence actuelle des directeurs de la photographie », déclare Chris. « Je dois donc utiliser des réglages de haute sensibilité tels que 4000 ou 5000 ISO s’il s’agit d’une photographie d’une grande importance, ainsi que des objectifs rapides. » Par chance, l’α7R III offre de faibles niveaux de bruit pour les réglages ISO élevés, et le nombre d’objectifs Sony de type E intégrant des ouvertures rapides, tels que ceux dont disposent Chris dans sa sacoche (35 mm f/1.8, 55 mm f/1.8, 85 mm f/1.8, et 24-70 mm f/2.8), ne cesse de croître.

Mise au point parfaite

Une mise au point silencieuse, précise et nette est également essentielle pour les photographes de plateau, particulièrement dans les environnements faiblement éclairés. Mais grâce à la mise au point automatique hybride de l’α7R III, il est aujourd’hui plus facile que jamais de verrouiller et conserver la mise au point sur un sujet. « Les capacités de mise au point automatique de cet appareil sont tout simplement stupéfiantes », déclare Chris, « et cet élément est essentiel, car ce métier n’offre aucune seconde chance. Lorsqu’on travaille avec de très grandes ouvertures, la mise au point Eye Detect prend tout son sens. Auparavant, sur dix clichés capturés, quatre auraient été nets. Maintenant, huit, neuf ou dix sur dix d’entre eux le sont. »

Chris explique : « À chaque projet, vous pouvez avoir à jongler entre environnements peu éclairés, scènes d’action, portraits et paysages, et l’appareil photo vous permet de vous adapter plus rapidement à chaque situation et d’éviter les clichés manqués ; c’est essentiel. Les entreprises cinématographiques dépensent souvent des millions de dollars et on ne reviendra pas en arrière juste parce que vous étiez absorbé par les réglages de votre appareil. Vous devez savoir quelle vitesse d’obturation ou quel objectif convient et vous tenir prêt. Il n’y a pas le temps pour les ratés. »